T’as une idée. T’as l’envie.
Mais tu restes bloqué(e), figé(e) comme devant une feuille blanche.
Et si le problème, c’était pas toi… mais ce que tu crois sur l’entrepreneuriat ?
Spoiler : on va faire le ménage.

Avant même de te lancer, t’es peut-être déjà freiné(e) par des petites voix dans ta tête.
Elles te murmurent des trucs du genre :
- “T’es pas fait(e) pour ça.”
- “Il te faut un diplôme.”
- “C’est pas le bon moment.”
Ces petites phrases, ce sont ce qu’on appelle des croyances limitantes.
- Ce sont des pensées qu’on a intégrées comme des vérités, souvent sans s’en rendre compte.
- Elles sont nourries par notre éducation, nos expériences passées, ou la peur de l’inconnu.
Et surtout : elles te bloquent. Elles t’empêchent d’avancer, de tester, de sortir du cadre.
Je t’en balance 5 parmi les plus courantes – et surtout comment t’en libérer.
Parce que non, t’as pas besoin de devenir une version parfaite de toi-même pour te lancer.
Tu dois juste commencer par nettoyer ce qui t’enchaîne.
“Il faut une idée révolutionnaire pour se lancer”
Faux.
Tu n’as pas besoin d’inventer le Uber des boulangeries sans gluten.
Ce qu’il te faut : une idée claire, utile, et qui répond à un besoin réel. Une bonne idée business, c’est surtout une solution concrète à un vrai problème.
Astuce : commence par une version simple, améliore en marchant. C’est comme ça que tu peux te lancer en tant qu’entrepreneur sans tout réinventer.
“Je ne suis pas légitime / pas assez compétent(e)”
Ah, le fameux syndrome de l’imposteur…
Personne ne naît entrepreneur. On le devient en faisant.
Ta légitimité vient de ce que tu as déjà fait, vécu, appris (même en dehors du taf).
Tu n’as pas besoin d’un diplôme, tu as besoin d’une solution pour quelqu’un. La confiance de l’entrepreneur se construit en avançant, pas en attendant un badge de légitimité.
“Je dois tout avoir prêt avant de commencer”
Newsflash : ce jour n’arrivera jamais.
Tu n’as pas besoin d’un logo, d’un site et de cartes de visite pour vendre.
Commence par un service. Parle-en autour de toi. Fais tes premières ventes.
Par conséquent, c’est l’action qui crée la clarté, pas l’inverse. C’est comme ça qu’on commence un business sans être parfaitement prêt : en bougeant.
“Ce n’est pas le bon moment”
Spoiler : il ne le sera jamais.
Attendre « le bon moment » c’est comme attendre une météo parfaite pour courir. Cela n’existe pas.
Le bon moment pour entreprendre, c’est maintenant… avec les moyens du bord.
Commence petit. Ajuste. Mais surtout, commence !
Se lancer aujourd’hui, même à petite échelle, te donne une longueur d’avance.

“Je risque d’échouer”
Oui. C’est possible. Et alors ?
Tu risques surtout d’apprendre, de grandir, et de rebondir.
En réalité, le plus grand risque, c’est d’attendre 10 ans et de regretter.
Rater son entreprise, ce n’est pas un échec, c’est une étape dans la construction de ton projet.
Conclusion
Tu vois, ces 5 idées reçues, on les a (presque) tous eues.
Mais c’est pas une raison pour les laisser décider à ta place.
Aujourd’hui, t’as deux choix :
- Tu continues à écouter tes croyances limitantes.
- Tu passes à l’action, même si c’est imparfait.
Et si tu veux pas le faire seul(e), devine quoi : t’es au bon endroit.
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